À l’issue de ma certification de coaching en 2020, j’ai imaginé, avec plusieurs apprenants nouvellement certifiés, la création d’un réseau d’entraide et de soutien. En effet, dans ce type de formation, on nous apprend à devenir coach mais à l’époque, pas du tout entrepreneur ! Le projet est resté en sommeil quelque temps avant de renaître de ses cendres en 2024. La synergie du mouvement d’entraide des coachs était toujours bien vivante et dans l’attente d’un véritable statut pour le collectif. J’ai enfin pu donner à cette famille son statut juridique, et le crowdfunding sur My Moojo a permis de récolter la somme de 9000 € ! J’ai hâte d’atteindre la prochaine étape pour EntreCoachPreneur : devenir la première marketplace du coaching en France.
« Ma grand-mère a eu un cancer du sein, et ma mère a toujours été vigilante sur le dépistage. Pour ma part, je suis très attentive à la santé de mes enfants.
Au-delà d’Octobre Rose, le cancer des enfants est une cause qui me tient particulièrement à cœur. Je suis marraine d’une petite fille qui a été touchée par un cancer à l’âge de quatre ans. Cet événement m’a incitée à m’engager bénévolement auprès des Blouses Roses dans les services d’oncologie pédiatrique : une expérience humaine marquante, qui rappelle la chance que nous avons quand nos enfants sont en bonne santé ».
« C’est un mois pour informer, prévenir et sensibiliser toutes les femmes sur l’importance du dépistage du cancer du sein. Les inciter à réaliser des examens réguliers de prévention et leur faire prendre conscience de l’étendue de la maladie. Que ça touche potentiellement une ou plusieurs de nos connaissances dont nous- mêmes ! J’ai deux filles de 20 et 24 ans, qui peuvent potentiellement être touchées par la maladie, j’y suis très sensible et pour moi ça a tout son sens. D’autant plus quand on sait que c’est la principale cause de mortalité chez les femmes et que 33% des cancers féminins sont des cancers du sein. »
« Pour moi, Octobre Rose, c’est l’occasion de faire de la pédagogie sur le cancer du sein, mais plus généralement, ce devrait être un mois de sensibilisation autour de la santé et du bien-être des femmes. Un temps pour prendre du recul sur notre mode de vie, et l’occasion d’un bilan médical (gynécologique mais pas seulement). Les maladies sont une forme d’expression possible de tout ce qu’on porte sur nos épaules. Pour que le message passe plus largement, il faudrait davantage impliquer les hommes et les enfants : pour qu’ils prennent soin de leurs femmes, de leurs mamans, de leurs filles et de leurs sœurs. Octobre Rose, ça devrait être October Care. Prenons soin de nous ! All lives matter»
« Très sensibles aux moments de vie qui peuvent avoir un impact sur la carrière des femmes, et sur la question du bien-être et de la santé des femmes en général.
J’aimerais créer des espaces de discussion où les femmes puissent se sentir comprises et en sécurité autour de ces sujets. Beaucoup de nos membres sont managers : si elles ne sont pas concernées personnellement par le cancer du sein, elle le seront indirectement dans la sphère professionnelle. Briser le tabou autour de cette maladie, c’est permettre aux femmes d’avancer de façon plus éclairée, soit sur ce qu’elles vivent, soit sur ce qu’elles peuvent apporter comme confort et réconfort à celles qui traversent ces batailles ».
« La lutte contre le cancer du sein est une cause qui me tient particulièrement à cœur, car cette maladie est très présente dans mon histoire familiale, et elle a récemment touché ma mère. Octobre Rose, c’est l’occasion de délier la parole, de parler sans tabou autour de nous de la santé des femmes, de porter un message éducatif. Pour moi, en tant que maman de deux filles, ça peut être, très simplement, le fait d’aller acheter des brassières plutôt que des soutiens-gorge à armatures. Impossible de ne pas être attentive à cette cause, d’autant que 80 % de mes clients sont… des clientes ! »
« J’avais 16 ans lorsque ma mère a été atteinte par un cancer du sein virulent. Elle a choisi de ne pas évoquer sa gravité à l’époque, et j’ai été très touchée par son courage, mais aussi par la façon dont son corps a été blessé.
À l’occasion d’Octobre Rose, je participe à une action de sensibilisation avec l’appui de professionnels de santé sur le volet professionnel. Comment revenir travailler après la maladie ? La fragilité dans cette épreuve de vie n’est pas seulement physique ou psychologique, elle est aussi financière. Vous êtes, ou avez été malade ? Vous avez acquis des droits pendant toutes ces années, vous pouvez être accompagnée ! »
« D’après moi, Octobre Rose est d’abord une occasion de sensibiliser à la différence et d’introduire dans nos vie plus de tolérance envers le handicap invisible. La maladie et le handicap ont des problématiques communes. Bien sûr, je me sens très solidaire du combat que livrent toutes les femmes touchées par la maladie. Je sais que c’est dur pendant, mais aussi après, car il faut se reconstruire, physiquement, mentalement, émotionnellement. »
« Il n’y a pas eu de cancers du sein dans ma famille, mais dans mon entourage amical et professionnel j’ai vu beaucoup de femmes touchées par la maladie. La mère d’une de mes amies au lycée en est morte : elle avait été diagnostiquée trop tardivement. J’ai également été très marquée par le long et difficile parcours de reconstruction d’une collègue de ma mère. Aujourd’hui, il me parait essentiel d’encourager la prévention et les diagnostiques précoces, car ils sauvent des vies. Homme ou femme, nous sommes tous concernés par cette cause, pour nos proches ou pour nous-mêmes : n’oublions pas que les hommes aussi (même si c’est dans une très faible proportion) peuvent être atteint par le cancer du sein. »
Alors, est-il possible de vivre du coaching ?
Est-ce une notion de revenus ?
Est-ce une notion de compétences ?
Est-ce une notion de marché ?
Ou de croyance populaire ?