« Ma grand-mère a eu un cancer du sein, et ma mère a toujours été vigilante sur le dépistage. Pour ma part, je suis très attentive à la santé de mes enfants.
Au-delà d’Octobre Rose, le cancer des enfants est une cause qui me tient particulièrement à cœur. Je suis marraine d’une petite fille qui a été touchée par un cancer à l’âge de quatre ans. Cet événement m’a incitée à m’engager bénévolement auprès des Blouses Roses dans les services d’oncologie pédiatrique : une expérience humaine marquante, qui rappelle la chance que nous avons quand nos enfants sont en bonne santé ».
« Pour moi, Octobre Rose, c’est l’occasion de faire de la pédagogie sur le cancer du sein, mais plus généralement, ce devrait être un mois de sensibilisation autour de la santé et du bien-être des femmes. Un temps pour prendre du recul sur notre mode de vie, et l’occasion d’un bilan médical (gynécologique mais pas seulement). Les maladies sont une forme d’expression possible de tout ce qu’on porte sur nos épaules. Pour que le message passe plus largement, il faudrait davantage impliquer les hommes et les enfants : pour qu’ils prennent soin de leurs femmes, de leurs mamans, de leurs filles et de leurs sœurs. Octobre Rose, ça devrait être October Care. Prenons soin de nous ! All lives matter»
L’auteure, Stéphanie Rauscent, ancienne DRH devenue coach professionnelle, partage son expertise sur les démarches administratives essentielles, telles que l’obtention du numéro de déclaration d’activité (NDA) et la certification Qualiopi. Ces démarches sont indispensables pour proposer des prestations financées par le CPF (Compte Personnel de Formation). Le guide insiste sur l’importance de structurer son offre de bilan de compétences et de bien choisir ses partenaires, notamment des organismes de formation certifiés.
Alors, est-il possible de vivre du coaching ?
Est-ce une notion de revenus ?
Est-ce une notion de compétences ?
Est-ce une notion de marché ?
Ou de croyance populaire ?